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À l’heure où le marché de la piscine s’inquiète de potentielles restrictions d’eau, l’entreprise Arbo Concept s’engage de manière innovante dans la création de piscines Magiline 3.0, respectueuses de l’environnement. Son directeur, Benjamin HEIM, arbore ces valeurs depuis ses débuts.

Un article rédigé et à retrouver sur le magazine Profession Paysagiste

arbo concept, depuis 20 ansAsset 4

Fondée en 2003, la société Arbo Concept vient de fêter ses 20 ans.

Son dirigeant, fier de l’évolution de son entreprise, ne manque pas de nous rappeler l’importance de ses salariés dans cette aventure.
Issus d’un cursus de formation dans la production horticole et l’élagage, le directeur se passionne pour les espaces verts depuis l’âge de 12 ans, lorsqu’il allait tondre les pelouses de ses voisins. “Je savais déjà que je serai voué à travailler en extérieur avec la nature”, raconte Benjamin Heim.
À la suite d’un cursus, BP en produits de l’horticulture, d’un Bac pro en commercialisation des végétaux, et d’un BTSA en aménagements paysagers, il s’envole au Québec, où il passera 2 années à se former au métier d’élagueur.

Curieux de tout, c’est son côté autodidacte qui le motivera à ouvrir l’entreprise dès son retour en France. Un commencement en entreprise individuelle, pour une évolution, au fil des rencontres, vers une PME d’actuellement 25 personnes.
Paysagiste et pisciniste dans le Loir-Et-Cher (41), l’entreprise affiche aujourd’hui un chiffre d’affaires de 3 200 000 d’euros.

Des valeurs humaines

Pas de doute, l’Humain et le bien-être des salariés est au coeur de l’ADN d’Arbo Concept.
“La recherche du bien-être au travail, pour tous ceux qui m’entourent, fait partie de mes priorités quotidiennes. J’essaie d’inculquer à mes salariés l’importance du transfert de compétences entre les générations, dans la bienveillance et l’humanité” explique le directeur.

La moyenne d’âge dans l’entreprise étant de 27 ans, Benjamin Heim pense que ces valeurs sont à défendre pour préserver le savoir. Ainsi, il essaye de transmettre sa manière de manager à ses collègues, directeurs d’entreprises, adhérents ou non, de l’UNEP et de la FPP.
“On ne peut pas se plaindre d’un manque de personnel ou de départs, sans se remettre en question sur la manière de manager et la manière d’appréhender ses employés”, rajoute M. Heim.
De sorte, un seul mot revient dans les dires des employés : humanité.

L'entrée dans le réseau Magiline

En 2011, l’entreprise Arbo Concept, alors spécialisée dans la création et l’entretien de jardins, travaillait pour les particuliers et les collectivités. “À cette époque, les collectivités n’étaient pas tenues de réaliser des appels d’offres pour consulter les entreprises. Finalement, face à une concurrence agressive des autres départements, et des procédures de paiement parfois longues, il fallait trouver une solution pour pérenniser l’entreprise.”, explique le directeur.

Se voyant réaliser quelques piscines en kit et les aménagements périphériques, Benjamin Heim comprend alors l’importance de rejoindre un réseau pour l’aider à appréhender cette nouvelle activité.
Autodidacte, ce changement de stratégie ne pouvait qu’accroître ses connaissances et élargir son offre. “Quand je suis arrivé dans le réseau Magiline, je voyais des piscinistes qui réalisaient 30 à 40 piscines par an, ce qui me paraissait
infaisable. Finalement, en structurant correctement l’entreprise, on arrive facilement à ces chiffres”, indique le gérant.

En développant les produits périphériques à la construction de piscine, l’entreprise a pu ouvrir un petit magasin, en 2013, puis déménager, en 2021, dans un showroom de 500 m², destiné aux prospects et aux clients, proposant piscines, spas et accessoires.

La piscine de demainAsset 4

La maîtrise de l'eau

Respectueux, des hommes et de l’environnement, Benjamin Heim met en place, dès son arrivé dans le réseau Magiline, des solutions à la fois productives et respectueuses de l’environnement.
“Dès le départ, j’ai investi dans ma première citerne de 50 m3 pour les rénovations de piscines, notamment des liners. Ces citernes nous permettent, en une journée, de vider, remplacer le liner, et remettre l’eau dans le bassin, là où certains confrères prévoient 3 interventions en 3 jours !”, raconte le gérant.
L’avantage de cette technique, réside aussi dans le maintien des complexes d’eau, qui sont parfois parfait dans les piscines à vider, et évite ainsi la reprise à 0 de la chimie. Petit plus, pour peu que le temps soit clément, l’eau présente dans la citerne aura légèrement chauffée durant la journée.

D’autre part, l’entreprise propose l’implantation de citernes dans le jardin de ses clients pour récupérer les eaux de pluies. Leur installation provisoire durant la période hivernale permet, aux futurs acquéreurs de piscine, de récolter quelques mètres cubes d’eau qui viendront en complément lors du remplissage et de la mise en service. Pour les installations définitives enterrées, la récolte des eaux de pluies réduit les consommations d’eau lors des entretiens de la piscine, et du jardin.
Cette solution ne remplit pas totalement la piscine, mais contribue de manière durable, à proposer des solutions aux clients, en faveur de l’environnement.

La réduction énergétique

En plus d’être équipé de systèmes photovoltaïques sur leurs bâtiments d’exploitation générant 120 KWh, l’entreprise propose à ses clients l’installation dans leur jardin de panneaux photovoltaïques 1 000 W.

Pour un prix d’environ 7 000 euros, installation comprise, “le client est capable de se dire que sa piscine ne lui coûtera plus un centime d’euro en électricité, et pourra bénéficier du surplus d’énergie pour alimenter la maison lors de belles journées ensoleillées”, indique Benjamin Heim.
Permettant l’autoconsommation en période estivale, filtrations, pompes et équipements verront leur consommation en électricité diminuer, voire disparaître. “Une fois la réflexion faite autour des plages d’utilisation électrique, on peut prévoir le fonctionnement des pompes et équipements, et la recharge du robot de tonte électrique, durant les ensoleillements”, précise le directeur.

Autre réduction énergétique et responsable, les chutes plastiques des blocs de construction polyéthylènes, des piscines en kit Magiline, sont récolté par le réseau pour être recyclés et réutilisés, dans une optique de circuit fermé.

L'utilisation du béton décarboné

Dans un concours de circonstance, Benjamin Heim s’est rapproché des solutions proposées par l’entreprise Hoffmann Green, implantée en Vendée, autour des ciments et béton décarbonés.

Là où le ciment traditionnel ‘Portland’ nécessite une combustion de la roche pendant 18 h dans des fours chauffés à 1 450 °C, pour en obtenir le clinker, principal liant et durcisseur du mélange, les ciments Hoffman Geen Cement réutilisent les déchets issus de l’industrie sidérurgique.
Ainsi, les laitiers résiduels de la fonte du métal, mélangés à des activateurs chimiques, permettent des formulations sans clinker. Arbo Concept a réalisé cette année, la première piscine Magiline décarbonée. Cette solution génère 5 fois moins de CO2, soit moins de 800 kg de CO2 pour une piscine standard 8x4m.

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